En 2008, la banque d’investissements Lehman Brothers et le leader mondial financier et des assurances AIG sont tombés dans une banqueroute. En 2009, Goldman Sachs a abandonné ses pratiques d’investissement. La crise économique a éclaté et s’est étendue dans tout le monde en laissant au découvert les défauts de la majorité de systèmes démocratiques. La liberté avec laquelle le secteur financier agissait sur les marchés est devenue imprudent.
Le pouvoir politique n’a pas pu cacher sa complicité et beaucoup de gouvernements ont été punis par cela. La démocratie même a été révisée. Ils ont surgi des nouveaux mouvements sociaux et des nouveaux mécanismes de démocratie plus participative. Chaque pouvoir de la société a été et est jugé par sa contribution à des faits qui ont provoqué la perte de beaucoup de postes de travail, la augmentation des inégalités des citoyens et une précarisation du bien-être gagné. Mais à tous ceux-ci judicieux toujours il reste l’un. Le jugement au quatrième pouvoir.
Depuis des fins des années 70, les politiques néolibérales ont disposé de deux leaders déjà historiques, Ronald Reagan et Margaret Thatcher, à travers des lesquels s’est généré la nécessité d’octroyer une plus grande liberté au secteur financier. Cette liberté a été augmentée à travers des actions d’hommes politiques de différents idéologies, de Bush à Clinton, en débouchant à une longue liste de fraudes que ces sociétés ont réalisé d’une forme systématique depuis principe des années 90, sans que le pouvoir politique ne faisait rien pour le remédier, et avec la passivité des médias. Mais quel type d’information on peut attendre des médias qui ont dans ses assemblées d’actionnaires des entités financières de la même nature à celles qui ont provoqué la crise ?
Jeter un coup d’oeil avec le petit film intitulé « Responsabilité quoi? »
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Ce webdocumental essaie d’analyser le comportement des médias dans cette période, ainsi que de faire une réflexion générale sur la profession journalistique, pour vérifier si le journalisme est dans les meilleures conditions pour cumplir sa fonction historique de quatrième pouvoir, et pour analyser si le journalisme peut aider à sortir de cette crisis de la manière plus favorable aux citoyens ou de prévoir les crises futures qui sont pour arriver.